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27 août 2014 3 27 /08 /août /2014 16:54

Barbapapas.jpg

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1 septembre 2013 7 01 /09 /septembre /2013 13:53

Angoisse_viabilisee.JPG

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27 janvier 2013 7 27 /01 /janvier /2013 12:39

Comme la population a triplé en quelques années, les anciens transformateurs électriques étaient saturés. Cela provoquait de régulières coupures de courant à l'origine de diverses mésaventures (ça m'a valu de griller l'alimentation de mon ordinateur, par exemple). Aussi, la commune a décidée de remettre les transformateurs à niveau.

Cette mise à niveau technique nous vaut aussi une mise à niveau esthétique des transformateurs, des plus cohérentes :

photo 1

- un transformateur, simili "maison bois" avec toit terrasse, en lisière de la végétation et des vieux murs;

photo 2

- un transformateur, simili "maison de constructeur" avec enduit "ton pierre de Caen" et toit à pentes, en plein centre des lotissements communaux.

Nous pouvons ainsi apprécier l'évolution du "style contemporain à tonalité écologique" dans le paysage de notre commune.

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31 décembre 2012 1 31 /12 /décembre /2012 12:33

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A la suite de l'inauguration de la place Saint-Sauveur, à Caen, m'est venue une réflexion à propos de l'actualité et de la pertinence dans le paysage urbain des kiosques à musique, souvent considérés comme un détail désuet des anciens jardins publics. Cette réflexion n'est pas construite, juste anecdotique, mais la tendance minérale et désertique des nouvelles places dans les centres villes a fait resurgir cette architecture miniature dans mon esprit.

Vous trouverez ci-dessous le texte de présentation de ce qui est depuis un mois simplement une page Facebook que vous pouvez alimenter.

 

POUR UNE RÉINTÉGRATION DES KIOSQUES À MUSIQUE DANS LES NOUVEAUX CENTRES VILLES.

Aujourd'hui un grand nombre de municipalités construisent ou aménagent dans leurs nouveaux centres des places souvent minérales. Dans le même mouvement, plus rarement, des jardins publics surgissent.

L'aménagement de ces nouvelles places à destination des citoyens et à vocation conviviale, semble souvent limité en terme de mobilier urbain et d'architecture conviviale.

Dans l'histoire des places et jardins publics, le kiosque à musique avait une place remarquable : il s'agissait d'un repère, d'un lieu de rendez-vous, d'écoute, de découvertes musicales et de rencontres. En somme : un espace d'expression musicale, de convivialité et de lien social. Le kiosque à musique était un lieu d'expression, un point d'ancrage, un axe magnétique vers lequel convergeaient quotidiennement, ou les jours fériés, les citoyens.

Le kiosque à musique est aujourd'hui absent de ce paysage appauvri.

Aussi, nous devons imaginer l'implantation de kiosques contemporains, résultant d'un travail de recherche d'architecture, de design et d'urbanisme.

Ces lieux d'expression pourront alors à nouveau participer à la sensibilisation culturelle des habitants de la cité et, ainsi, devenir des espaces importants du dispositif d'émancipation citoyenne.

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13 octobre 2012 6 13 /10 /octobre /2012 13:43

Barbapapas.jpg

A l'occasion d'un récent séjour dans les Vosges, j'ai pu redécouvrir un site exceptionnel dont je n'avais qu'un souvenir abîmé, dans la mesure où, la dernière fois que j'y étais passé (il y a quinze ans), celui-ci était dans un état de désuétude avancée.

Par la suite, le Motel construit en 1967 par Pascal Haüsermann, a été bel et bien abandonné.

Il y a peu, un groupe de personnes passionnées par l'œuvre de l'architecte, a racheté le site et a restauré l'ensemble des modules qui constituaient le Motel.

Architecture-4227.jpg

Architecture-4226.jpg

L'île aux bulles est aujourd'hui à nouveau un Motel dans lequel vous pouvez séjourner à l'occasion d'un passage dans les Vosges. Les différents modules ont été aménagés avec des collections d'objets 1950 / 1960 / 1970 et l'accueil est extrêmement sympathique. Vous pouvez aussi vous arrêter boire un coup au Café "L'utopie" et en profiter pour jeter un coup d'œil sur le parc et sa collection de sculptures.

www.museumotel.com

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4 juillet 2012 3 04 /07 /juillet /2012 21:39

Cela fait un bon moment que je n'ai pas trouvé de temps pour rendre compte de l'avancement de notre jardin, de nos aménagements, etc. Cet été sera sans doute l'occasion de quelques précisions.

En attendant ces articles passionnants, je vous fait part de la référence de cet ouvrage que je n'ai pas encore lu, puisqu'on doit me l'offrir. La couverture est jolie, le propos m'intéresse, bien évidemment… et l'éditeur est fortement recommandable.

Bonne lecture !!!

 

 

le-cauchemar-pavillonnaire.jpg

Le cauchemar pavillonnaire

Jean-Luc Debry


 

Les zones pavillonnaires, affublées à l’occasion du joli nom de lotissement, envahissent inexorablement les abords des villes et des villages, selon un modèle administratif et économique qui, indifféremment du lieu, se reproduit à l’identique. Elles incarnent un idéal et un mode de vie fondés sur l’aliénation désirée. L’obsession de l’hygiène et de la sécurité, le culte de la marchandise et de la propriété privée ont remplacé les solidarités et la culture de résistance des classes populaires. L’expérience de la relation à autrui se réduit au désir mimétique de posséder les mêmes signes de la réussite individuelle. Cet univers, parfaitement structuré, enferme l’imaginaire dans un espace étriqué, accentue le repli sur soi et appauvrit la vie sociale.

L’espace, quadrillé, découpé en plans de circulation, repose sur une logique de flux. La notion de « ville » – et bientôt de « campagne » – s’efface. Désormais réduites à leur centre historique, les villes sont cernées par des zones spécialisées : industrielles, commerciales, résidentielles, vertes, de loisir… Les enjeux de pouvoir se sont toujours traduits dans l’organisation de l’espace social. Tout système politique peut être analysé au travers de son architecture. Ce livre permet de comprendre celui dans lequel nous vivons.

 

www.lechappee.org

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27 juillet 2011 3 27 /07 /juillet /2011 19:53

maisons_beton.jpg

 

Il y a quelques jours, j'ai reçu ce très joli petit livre : "TYPEN, Good, Bad and Ugly Houses", d'Oda Pälmke. C'est une sorte d'inventaire, de collection, de propositions de stéréotypes de maisons, réalisées en ciment. Bien entendu, si on m'a offert ce livre c'est parce que ces petites maisons en ciment ressemblaient étrangement à la maquette que j'avais réalisé pendant le chantier de notre maison en bois.

Le plus drôle étant, toujours, de constater que face à cet archétype de maison une majorité de personnes se demandent ce que ça peut bien être…

www.jovis.de

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7 juin 2010 1 07 /06 /juin /2010 10:09

En une quinzaine de jours la maison a été deux fois le sujet de tournages télévisuels.

La première fois, le 21 mai, pour l'émission de Canal + "MENSOMADAIRE", la seconde fois, les 4 et 5 juin, pour la très courte émission de TF1 "DU CÔTÉ DE CHEZ VOUS".

 

L'équipe de MENSOMADAIRE est venue réaliser un documentaire à propos de l'ambassade d'Elgaland~Vargaland, de l'ouverture de l'ambassade (Festival Boréales 2002) et des manifestations organisées autour de l'annexion de l'étale à Bayeux (Festival Boréales 2009).

Le tournage a duré toute l'après-midi, c'était extremement intéressant et ça m'a valu de gros coups de soleils.

La diffusion du documentaire est prévue pour septembre prochain.

 

CANAL01

CANAL02

  MENSOMADAIRE

 

L'équipe de TF1 est venue tourner vendredi 4 et samedi 5 juin.

Là c'était l'artillerie lourde : presque 12 heures de tournage pour 1 m. 30 de film. et tout le matériel nécessaire pour l'éclairage, les travellings, etc.

Donc un tournage complètement scénarisé, avec des scènes à jouer 4, 5 ou 6 fois.

On espère maintenant que le résultat sera en phase avec le propos de notre projet architectural.

Le scénario raconte le retour de notre fille à la maison, après sa journée d'école. Nous sommes en train de bricoler, et elle monte dans sa chambre improviser un solo de guitare électrique; le tout étayé par des témoignages de notre voisinage sur l'implantation de notre maison dans le lotissement.

La diffusion du film est elle aussi prévue en septembre prochain.

A suivre…

En tout cas, là encore, c'était une expérience assez remarquable, et l'équipe de tournage était aussi très sympathique.

 

TF1 01

TF1 02 

TF1 03

TF1 04

TF1 05

DU CÔTÉ DE CHEZ VOUS

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23 mars 2010 2 23 /03 /mars /2010 22:18
autour 1119
Vendredi dernier, Nicolas Varout est passé à la maison faire quelques prises de vues, en guise de repérage, pour l'émission "Du côté de chez vous", produite par TF1 et Leroy Merlin… un moment fort sympathique, qui correspondait pour le visiteur à la fin (ou presque) d'un périple d'une semaine à travers le grand ouest de la France, à la découverte de maisons singulières.

www.ducotedechezvous.com
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28 février 2010 7 28 /02 /février /2010 18:15
photo01
A côté de l'ésam, les containers s'entassent sur le site de la future médiathèque.
Cela me fait penser à ce que pourrai être notre jardin champêtre ;-)

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Présentation

  • : Une maison nous anime
  • : Projet d'une maison individuelle commandée en 2007 par Astrid & Thierry Weyd à Marie-Pierre Bernard & Mickaël Tanguy, architectes. L'anagramme : "Une maison nous anime" a été créée par Jean-Claude Mattrat.
  • Contact

Notre projet

L'idée était de concevoir une maison simple avec un budget de primo-acquéreurs sans apport.
De plus la maison devait être adaptée à notre mode de vie ainsi qu'à nos activités professionnelles et associatives.
Nous voulions que notre maison soit conçue par un architecte, cela nous paraissait logique.
Ce projet est situé dans un lotissement, là où il n'est pas possible, à priori, de réaliser autre chose qu'une maison de constructeur (comme c'est le cas sur 90% du territoire national), ce qui correspond à la majorité des projets de constructions de maisons individuelles aujourd'hui.
Ainsi notre choix est pragmatique, il ne correspond pas à un idéal de vie mais à une approche concrète du paysage actuel de la maison individuelle.
Nous avons pu constater que les règlements de constructions sont absurdes mais se veulent raisonnables, ils prônent la notion d'harmonie, sans en connaître la définition, pour justifier une uniformisation et une pollution du paysage qui ne résulte que de l'intelligence des constructeurs à imposer leurs produits standards à un public qui manque de repères en la matière.
En outre, ces lotissements sont dessinés sur plans par des géomètres qui ne tiennent pas compte du paysage; il n'y a pas ou il y a peu de questionnements sur le tissu social, sur la relation avec le reste du paysage construit alentour et sur l'urbanisme.
Etant très investis dans nos activités professionnelles et associatives, il n'était pas question pour nous d'envisager l'auto-construction pour réaliser notre projet : notre maison est un lieu où nous vivons et où nous nous activons une grande partie de la journée, mais pas un projet de vie. Nous n'imaginions pas un jour nous faire construire une maison, nous n'en avions jamais rêvé : c'est le contexte immobilier actuel qui nous a placé dans cette perspective.
Cette démarche a été facilitée par l'intérêt que nous portons depuis une dizaine d'années à des réalisations d'architectes qui tentent de reconquérir le marché de la maison individuelle. Nous avions observé ces expériences avec sympathie car elles ne sont pas très éloignées, sur le fond, de la logique avec laquelle nous menons notre activité associative (les éditions cactus) depuis plus de vingt ans. De la même façon que certains architectes utilisent des techniques de constructions agricoles ou détournent des matériaux industriels au service de réalisation de maisons individuelles sur mesure, accessibles à tous, nous produisons des ouvrages mêlant différentes techniques d'impressions, industrielles et artisanales, de manière à réaliser des projets d'auteurs justes et rigoureux.
C'est pourquoi l'idée d'alternative, dans la logique modeste de battement d'aile de papillon, gouverne nos différents projets.
Même si actuellement une tendance se dessine vers ce type de construction, on peut observer qu'elle se limite à une iconographie séduisante dans des magazines qui font rêver. Nous ne nous reconnaissons bien sùr pas dans cette iconographie et nous observons l'immense écart qui existe entre l'image et la réalité du paysage.
Pour conclure : notre projet est un projet P à un endroit E qui n'a rien d'Utopique (c'est donc un PEU).
C'est un PEU constitué de toutes les particularités liées à la construction (cahier des charges des commanditaires, contraintes locales, accès aux matériaux, gestion des différents corps de métiers, investissement personnel, etc.) qui en font un projet d'architecte rigoureux.
Pour paraphraser Mies van der Rohe, nous pouvons espérer qu'un jour "le PEU devienne le PLUS".

"Faire de la poésie c'est mettre les pieds dans le plat la tête la première."
Christophe Tarkos

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