Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
17 mars 2008 1 17 /03 /mars /2008 23:02
undefined
Aujourd'hui Marin reprend le travail. Il pose les solives afin de structurer trémie et coursive.

undefinedundefinedundefinedundefinedundefinedundefined
Partager cet article
Repost0
15 mars 2008 6 15 /03 /mars /2008 18:08
La nuit dernière j'ai réalisé cette maquette en béton de notre maison en bois au 1/100 ème, histoire de mieux visualiser le volume de la maison et de rebondir litéralement sur la proximité visuelle de notre projet avec l'image que l'on peut se faire d'un blockhaus.

undefined
Ce matin j'étais à Caen pour un rendez-vous à l'issue duquel je pensais faire un saut au Salon de l'habitat pour dire bonjour à notre architecte (qui est présente sur le stand de l'Ordre des Architectes), saluer le représentant du bureau d'étude qui a travaillé sur notre projet (Normanbois) et leur montrer ma jolie maquette encore un peu humide.

J'avais visité ce salon il y a deux ans, puis l'an dernier alors que nous étions en plein travail de conception de notre projet de maison. L'année passée j'avais rencontré Rémy Mauger en train de réaliser un sujet sur lequel je me trouvais faire de la figuration.

undefined
Ce matin, donc, pendant mon rendez-vous arrive un message sur mon portable : le dit Rémy Mauger qui me rappelle au cas ou je serai dans les parages du salon…
Je me rends au dit salon, partant du principe que je vais le rappeler une fois là-bas.
Je suis sur place depuis à peine cinq minutes que je croise Rémy et son cameraman. Je lui révèle donc que notre projet est pas mal avancé et que notre architecte est là, ainsi que le bureau d'étude avec qui nous travaillons. Et voilà enclenchée la réalisation d'un sujet pour le journal du soir sur la maison individuelle écologique et économique…
Le tournage du sujet nous amènera dans l'après-midi sur le terrain.
Moi qui avais prévu de finir un boulot urgent !

undefinedundefined
Interview de notre architecte, Marie-Pierre Bernard.

undefined
Interview de Didier Lebat, de Normanbois.

undefinedundefined
Quelques détails du stand Normanbois.

undefined
Etienne dans le rôle de Marin, le charpentier qui travaille habituellement sur le chantier.

undefinedundefined
Fin de tournage sur le site ensoleillé.
Une visite qui, pour la première fois, m'aura permis d'observer la coursive du dessus.

undefined
Ci-dessous le sujet diffusé dans le 19/20 sur France 3 le 14 mars, puis le lendemain midi.



PS : désolé pour les puristes, mais contrairement à ce que précise Rémy Mauger en conclusion du reportage, l'hiver prochain nous n'aurons pas qu'un poêle à bois pour nous chauffer, nous aurons aussi quelques convecteurs…
Partager cet article
Repost0
10 mars 2008 1 10 /03 /mars /2008 22:03




Après une nuit et une journée de tempête (vents de 100 à 120 km/h et pluie incessante),
en rentrant du travail je fais un détour par le chantier.
Là j'évite de justesse une planche qui s'envole du tas devant notre maison.
Le stock de bois est en vrac.
Il y a déjà eu une tempête la semaine dernière, là rien n'avait bougé.

undefined
Le terrain est détrempé, mais apparement de ce côté ci du lotissement l'eau semble moins
retenue qu'en face, côté Est.
Je profite d'une accalmie pour faire une brève prise de vue.

Partager cet article
Repost0
7 mars 2008 5 07 /03 /mars /2008 21:55
undefined
Cela fait déjà huit jours que je ne suis pas passé photographier le chantier :
j'en profite donc pour faire une photographie artistique !
Depuis mon dernier passage le charpentier a dû s'absenter deux jours, puis un gros coup de vent a duré presque trois jours d'affilée (le weekend), ce qui a permis de vérifier la résistance de l'ouvrage.
Le charpentier doit à nouveau s'absenter quelques jours, j'en profiterai sans doute (si le temps me le permets) pour rédiger quelques articles plus détaillés sur les conditions du projet et certains détails de celui-ci.

undefinedundefinedundefinedundefined
L'Est, le Sud et l'Ouest se sont encore élevés, ce qui permet d'observer le jeu de modules qui organise
les ouvertures verticales (meurtrières) ou horizontales (fenêtres de souffrance).

undefined
Ci-dessus quelques détails de l'entrée et du départ du futur escalier : l'ensemble étant éclairé par une meurtrière et des carrés qui suivent l'escalier (côté Est) et par la porte translucide (côté Sud).
La coursive qui suit la bibliothèque apparaît à mi-niveau.

undefined
Vue depuis l'angle Nord-Est.
Partager cet article
Repost0
27 février 2008 3 27 /02 /février /2008 21:21
undefinedundefined
Côté nord : apparition d'un premier module de la ceinture de vitres située sous le toît.
Cette ceinture peut être lue comme une libre interprétation des traditionnels oculus.
Partager cet article
Repost0
26 février 2008 2 26 /02 /février /2008 20:41
undefinedundefined
Aujourd'hui, la moitié de la façade Ouest a été levée, côté cuisine.
Les deux pans de murs se répondent symétriquement.

undefined
Partager cet article
Repost0
25 février 2008 1 25 /02 /février /2008 22:50
undefinedundefined
Partager cet article
Repost0
22 février 2008 5 22 /02 /février /2008 18:34
undefined
Dans notre projet, une bibliothèque monumentale (qui enserre l'escalier avec la façade Est)
doit traverser la maison de bas en haut.
Celle-ci a déterminé la hauteur du batiment; aussi une coursive permettra d'en faire le tour à mi-hauteur,
au rez-de-chaussée de la maison. Le plancher de cette coursive est aujourd'hui en cours de mise en place.
Pour le moment seules des solives structurent le futur plancher.
Dans le même mouvement le cellier, au nord, solidaire de la coursive, a été structuré.

undefined
Vue du cellier depuis l'axe Nord-Ouest (vers l'axe Sud-Est).

undefined
Vue depuis le cellier (vers l'axe Sud-Est).

undefined
Vue du chantier depuis le jardin (à l'Ouest, vers l'Est).
Partager cet article
Repost0
20 février 2008 3 20 /02 /février /2008 22:53
undefined
Aujourd'hui la hasard m'a valu d'assister à l'érection d'une partie de la façade Est de la maison.
Pour ce faire, l'élément à élever est fixé au sol par des charnières, puis treuillé.
Pour cet élément d'une hauteur de 5 mètres, l'opération s'est faite en deux temps.
Après, les éléments sont fixés, solidarisés, etc.

undefinedundefinedundefinedundefinedundefinedundefinedundefinedundefined
Partager cet article
Repost0
19 février 2008 2 19 /02 /février /2008 23:00
undefined
Le mur de la façade Ouest est aujourd'hui en cours d'assemblage, demain il devrait être levé.
Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Une maison nous anime
  • : Projet d'une maison individuelle commandée en 2007 par Astrid & Thierry Weyd à Marie-Pierre Bernard & Mickaël Tanguy, architectes. L'anagramme : "Une maison nous anime" a été créée par Jean-Claude Mattrat.
  • Contact

Notre projet

L'idée était de concevoir une maison simple avec un budget de primo-acquéreurs sans apport.
De plus la maison devait être adaptée à notre mode de vie ainsi qu'à nos activités professionnelles et associatives.
Nous voulions que notre maison soit conçue par un architecte, cela nous paraissait logique.
Ce projet est situé dans un lotissement, là où il n'est pas possible, à priori, de réaliser autre chose qu'une maison de constructeur (comme c'est le cas sur 90% du territoire national), ce qui correspond à la majorité des projets de constructions de maisons individuelles aujourd'hui.
Ainsi notre choix est pragmatique, il ne correspond pas à un idéal de vie mais à une approche concrète du paysage actuel de la maison individuelle.
Nous avons pu constater que les règlements de constructions sont absurdes mais se veulent raisonnables, ils prônent la notion d'harmonie, sans en connaître la définition, pour justifier une uniformisation et une pollution du paysage qui ne résulte que de l'intelligence des constructeurs à imposer leurs produits standards à un public qui manque de repères en la matière.
En outre, ces lotissements sont dessinés sur plans par des géomètres qui ne tiennent pas compte du paysage; il n'y a pas ou il y a peu de questionnements sur le tissu social, sur la relation avec le reste du paysage construit alentour et sur l'urbanisme.
Etant très investis dans nos activités professionnelles et associatives, il n'était pas question pour nous d'envisager l'auto-construction pour réaliser notre projet : notre maison est un lieu où nous vivons et où nous nous activons une grande partie de la journée, mais pas un projet de vie. Nous n'imaginions pas un jour nous faire construire une maison, nous n'en avions jamais rêvé : c'est le contexte immobilier actuel qui nous a placé dans cette perspective.
Cette démarche a été facilitée par l'intérêt que nous portons depuis une dizaine d'années à des réalisations d'architectes qui tentent de reconquérir le marché de la maison individuelle. Nous avions observé ces expériences avec sympathie car elles ne sont pas très éloignées, sur le fond, de la logique avec laquelle nous menons notre activité associative (les éditions cactus) depuis plus de vingt ans. De la même façon que certains architectes utilisent des techniques de constructions agricoles ou détournent des matériaux industriels au service de réalisation de maisons individuelles sur mesure, accessibles à tous, nous produisons des ouvrages mêlant différentes techniques d'impressions, industrielles et artisanales, de manière à réaliser des projets d'auteurs justes et rigoureux.
C'est pourquoi l'idée d'alternative, dans la logique modeste de battement d'aile de papillon, gouverne nos différents projets.
Même si actuellement une tendance se dessine vers ce type de construction, on peut observer qu'elle se limite à une iconographie séduisante dans des magazines qui font rêver. Nous ne nous reconnaissons bien sùr pas dans cette iconographie et nous observons l'immense écart qui existe entre l'image et la réalité du paysage.
Pour conclure : notre projet est un projet P à un endroit E qui n'a rien d'Utopique (c'est donc un PEU).
C'est un PEU constitué de toutes les particularités liées à la construction (cahier des charges des commanditaires, contraintes locales, accès aux matériaux, gestion des différents corps de métiers, investissement personnel, etc.) qui en font un projet d'architecte rigoureux.
Pour paraphraser Mies van der Rohe, nous pouvons espérer qu'un jour "le PEU devienne le PLUS".

"Faire de la poésie c'est mettre les pieds dans le plat la tête la première."
Christophe Tarkos

Recherche

Catégories